Foire aux questions
La formation s’inscrit dans une continuité entre les 3 années de licence et de les 2 années de master. Un volume horaire renforcé de 20% sur l’ensemble des 5 années permets de consacrer 50% du programme à l’acquisition progressive d’une spécialité, tout en garantissant l’apprentissage d’un socle scientifique pluridisciplinaire. Cela représente l’équivalent d’une sixième année de formation.
Le CMI repose sur le renforcement d’un cursus standard de licence et master, les règles de progression au sein d’un CMI respectent le règlement des examens et les modalités de contrôle des connaissances (MCC) en vigueur dans l’établissement porteur des diplômes de licence et master supports auquel s’ajoutent des règles spécifiques CMI.
Les unités d’enseignement (UE), qu’elles soient constitutives du diplôme de licence ou master support ou du suppléments CMI, sont réparties en quatre composantes de formation : le socle disciplinaire et la spécialité ; les disciplines fondamentales ; les disciplines connexes ; et l’ouverture sociale, économique et culturelle.
Chacune de ces composantes doivent être validées individuellement. Seule la compensation annuelle entre les UE d’une même composante est autorisée. Tous les stages doivent être individuellement validés et n’entrent dans aucun jeu de compensation.
La non validation d’un année CMI n’empêche pas la possibilité de valider l’année du diplôme support sur lequel est adossé le CMI. Le redoublement d’une année CMI n’est pas autorisé.
En CMI, l’étudiant doit passer au moins 28 semaines en stage dont 14 minimum en entreprise. C’est un des critères d’obtention du Label CMI. Que ce soit le responsable du CMI, les intervenants extérieurs ou tous les membres des laboratoires qui co-portent un CMI (enseignants-chercheurs, ingénieur, techniciens, doctorants), tous contribuent à encadrer et conseiller l’étudiant notamment dans la recherche des stages.
Le CMI est un label national auquel participe une trentaine d’universités. Chaque formation suit donc le même degré d’exigence. La mobilité à travers chacune d’entre elles est donc évidemment facilitée afin de permettre à chaque étudiant de poursuivre son cursus dans la spécialité souhaitée.
Une expérience internationale est obligatoire pour valider un CMI. Les étudiants consacrent au minimum trois mois de leur formation à l’étranger, sous forme de stage (en entreprise ou en laboratoire de recherche) ou de semestre d’études, afin d’élargir leurs horizons aux cultures et enjeux internationaux.
Le CMI s’appuie notamment sur un contact étroit avec le monde de la recherche et une sensibilisation à l’innovation. De ce fait, la poursuite d’étude en doctorat est tout à fait envisageable pour un étudiant terminant son CMI.
Principalement les élèves de terminales préparant un bac général mais aussi ceux préparant un bac technologique proches de la spécialité du CMI choisi. Des passerelles sont proposées pour les étudiants d’IUT, de CPGE, de licence ou ayant effectué une partie de leurs études à l’étranger.
Les élèves de terminales doivent candidater dans « Cursus Master en Ingénierie » sous Parcoursup en suivant la procédure standard. Les étudiants pré sélectionnés sur leur dossier (dossier scolaire et lettre de motivation) seront tous convoqués à un entretien de motivation. Les étudiants souhaitant intégrer un CMI en cours de cursus déposent une candidature auprès du responsable CMI de l’établissement où vous candidatez.
La sélection s’effectue d’abord sur dossier, puis entretien de motivation.
Figure Développement applique systématiquement une démarche fondée sur trois principes de base : la co-construction avec ses partenaires, le respect absolu des besoins affichés pour lesquels cette action est menée, la prise en compte du contexte multi-culturel. Tous les experts sont formés à ces principes, préalablement aux missions qui leur sont confiées.
Les actions de Figure Développement s’adressent à tous les acteurs des universités partenaires, en premier lieu les étudiants, mais aussi les enseignants, les personnels et leurs dirigeants. Figure Développement a par ailleurs, sur place, une approche partenariale dynamique vis-à-vis des parties prenantes de ses projets qu’elle cherche systématiquement à rencontrer, comme les ambassades de France, les représentations européennes ou les ministères.
Figure Développement a choisi dans un premier temps de proposer ses services aux grands “bailleurs de fonds” nationaux ou internationaux qui recherchent des expertises pour développer leurs programmes : le groupe AFD, l’AUF ou la commission européenne par exemple. Il est ensuite rétribué sur les services rendus. Figure Développement s’adressera dans un deuxième temps directement aux établissements d’enseignement supérieur et de recherche nationaux ou internationaux pour répondre à leurs besoins éventuels, cette opération nécessitant une stratégie de communication appropriée.
Figure Développement engage actuellement des actions prioritairement en Afrique, Afrique du Nord et Afrique subsaharienne, et au Moyen-Orient, mais sa stratégie reste ouverte sur toutes autres destinations, sans restriction.
Figure Développement dispose d’une vaste diversité de champs d’expertise, mais a choisi de privilégier trois domaines particuliers liés aux caractéristiques du réseau en tant qu’opérateur d’ingénierie : le développement de l’assurance-qualité interne des formations universitaires, la professionnalisation et l’internationalisation au sein des établissements.
Figure Développement puise son expertise auprès de l’ensemble des compétences de ses universités-membres avec une diversité incomparable en matière de disciplines et de champs d’expérience.
Oui, les missions de Figure Développement sont aussi destinées aux établissements français qui souhaiteraient bénéficier de ses expertises.
Figure Développement est une entité stratégique de Réseau Figure®, chargée d’étendre le réseau au niveau international et d’y développer ses programmes de transfert d’expertise.